FINISTÈRE
Paroles | Jeanne Cherhal | |
Musique | Jeanne Cherhal | |
Interprète | Jeanne Cherhal | |
Année | 2014 |
Quatre couplets rythmés par l'anaphore "J'ai dans la bouche comme un goût de" (ou sa variante "comme un souffle de") et un refrain qui conduit "De la ville qui résonne" au "village qui frissonne" (préfigurant le diptyque Fausse Parisienne / Racines d'or de l'album L'an 40) pour une chanson qui dit, entre "souffle perdu" et "goût d'absolu", les angoisses ("Et je reste toute seule à regarder mes pieds / A ranger déranger des papiers / A médire à maudire à écrire à copier recopier") et l'euphorie ("Et je reste toute seule à regarder la mer / A marcher dans les chemins de terre / A aimer être là au bout de la Terre") de la création artistique, avec la certitude, déjà exprimée dans Plus rien ne me fera mal, que cette quête "de soleil et de Graal" ne finira jamais : "Et je reste toute seule à regarder dehors / A compter recompter mes trésors / Tous les mots que je n'ai pas su dire encore".
ASSISE
Paroles | Camille | |
Musique | Camille | |
Interprète | Camille | |
Année | 2005 |
NDLR : Assise est une des deux chansons que Cherhal a reprises lors du concert des Françoises au Printemps de Bourges 2010 (cf. Je m'appelle Françoise).