VIENNE
Paroles | Barbara | |
Musique | Barbara et Roland Romanelli | |
Interprète | Barbara | |
Année | 1972 |
Piano et accordéon pour un voyage et un long séjour solitaire dans une Vienne figée dans le romantisme de la Belle époque ("Je marche, je rêve dans Vienne / Sur trois pas de valse lointaine / Il semble que des ombres / Tournent et se confondent / Qu'ils étaient beaux les soirs de Vienne") pour tenter de ranimer la flamme d'un amour déclinant ("j'ai choisi l'absence / Comme dernière chance / Notre ciel devenait si lourd"), un séjour évoqué par des extraits de lettres envoyées à l'amant resté au pays et qui semble atteindre le but recherché ("Il est minuit, ce soir à Vienne / Mon amour, il faut que tu viennes"). Vienne est aussi la première chanson où Barbara invente un nom de lieu : "Luntachimo".
LETTRE D'UNE INCONNUE
(Max Ophüls ; 1948 ; Etats-Unis)